Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
26 septembre 2008 5 26 /09 /septembre /2008 23:07

 

François Bayrou
Président du Mouvement démocrate

A tous les adhérents du Mouvement

Le vendredi 26 septembre 2008

Chers amis,

Demain, samedi 27 septembre, tous les adhérents de notre mouvement sont appelés à participer aux premières élections organisées, le même jour, dans tous les départements de France. Vous allez donc voter pour choisir les responsables de votre mouvement départemental.

Ce court message est pour vous encourager à participer à ce vote et pour vous dire quelques mots de l’esprit dans lequel il me paraît nécessaire de le vivre.

Les règles que nous avons définies ensemble sont toutes entières tournées vers la collégialité. Nous avons voulu que ce scrutin ne soit pas la victoire des uns sur les autres, et finalement l’exclusion des uns par les autres, dans les départements où une compétition s’est organisée, mais au contraire l’association de toutes les sensibilités à la direction de notre mouvement. Je vous encourage à vivre cette élection dans cet esprit. Tous vont être invités à travailler ensemble.

Il est très important que nos dirigeants départementaux « tiennent la route », qu’ils aient l’esprit de fédérateurs, de rassembleurs.

Nous entrons dans des temps très difficiles, de crise profonde et de profonde remise en cause. Il suffit de voir la place que notre mouvement occupe dans le débat public, y compris à l’intérieur des autres partis, pour mesurer la responsabilité qui est la nôtre. Je souhaite que vous pensiez à cette responsabilité en glissant votre bulletin dans l’urne ce samedi.

Je vous adresse mes encouragements et mes amitiés.

François Bayrou

www.lesdemocrates.fr

Pour notre collectif « Rassembler nos Différences pour Construire un projet », nous ne sommes pas là pour sortir Yves CLEMENT, nous sommes là pour sortir notre fédération de l’enlisement.

 

Encore tous mes remerciements à Michel MUDRY pour nous avoir entendu.

 

Partager cet article
Repost0
19 septembre 2008 5 19 /09 /septembre /2008 11:52

A lecture du blog d’Yves CLEMENT, j’apprends qu’il a rencontré François BAYROU. Membre du Bureau, je n’étais pas informée une fois de plus.

 

Yves CLEMENT dit « Pas question de vous révéler le contenu de l’entretien ». Merci pour les adhérents du Loiret qui une fois de plus sont lésés. Quant à demander aux militants le message qu’ils souhaitent faire passer à François BAYROU, encore moins… Encore une belle démonstration de Démocratie !... Garder le meilleur pour soit, les autres auront les miettes… Un seul homme dans le Loiret sait tout pour tout le monde… Tout serait merveilleux… Il n’y a pas de doute... François BAYROU est très intelligent. La seule chose que je sais c’est qu’il veut des fédérations qui tiennent debout. Les rendez-vous secrets font pour nous parti d’un passé révolu qui, ça aussi - nous a valu tous ces échecs dans le Loiret. La petite UDF qui tourne autour d’elle-même, les militants MODEM n’en veulent plus.

 

Que les militants ont raison d’en avoir assez de tout cela.

Que les militants ont raison de nous bousculer pour sortir cette fédération de l’ornière.

Que les militants ont raison de vouloir la parole.

Que les militants ont raison de réclamer.

 

Membre du Bureau, je n’ai reçu aucun compte-rendu de ce rendez-vous non plus. Donc désolée, moi aussi, je ne peux rien dire car je ne sais rien.

 

Sinon, pour je ne sais plus qui, qui disait que François BAYROU pouvait ne pas être légitime à son poste de Président du Modem, ce dernier oublie qu’il est Député DONC LEGITIME.

En ces périodes d'élections, nous sommes tous les meilleurs amis de "Big Chief", C'est bien connu !

Partager cet article
Repost0
15 septembre 2008 1 15 /09 /septembre /2008 21:14

Ci-dessous, une opinion que je partage complètement d’autant que, si j’ose dire, à cause de ça : Comment arriver à faire détester un peu plus les fonctionnaires soumis à appliquer cela ? Alors non seulement je conteste mais surtout nombre d’entre nous pourront entendre ce qu’ils veulent, bref, ne pas entendre et les cases resteront vides ! Na !

« François Bayrou a estimé mercredi que "l'issue normale" concernant le décret créant le fichier de renseignement policier Edvige était son "retrait". "Je pense qu'au bout du compte l'issue normale c'est le retrait de ce décret pour en écrire éventuellement un autre", a-t-il déclaré sur LCI. Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem, a elle aussi estimé sur RFI que "s'il n'y a plus le fichage des personnalités" le décret "de lui-même tombera" car il "sera vidé de son sens".... "Je ne vois pas pourquoi il y avait besoin de ce décret-là et surtout de mélanger les élus, les responsables syndicaux ou religieux" à la prévention de la délinquance, a expliqué François Bayrou. "Il n'y a aucune justification à traiter ces personnalités comme des délinquants potentiels", a-t-il insisté, se disant "disponible" pour discuter avec la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie. François Bayrou a souhaité l'élaboration "d'une loi". C'est "une obligation" car "il ne peut y avoir, selon la déclaration des droits de l'Homme et selon la Constitution, d'entorse à cette liberté publique que s'il y a une loi", a-t-il expliqué. Le président Nicolas Sarkozy a tenté mardi de calmer la polémique sur le fichier Edvige en demandant à la ministre de l'Intérieur "d'ouvrir rapidement une concertation". Mme Alliot-Marie a proposé "une loi" garantissant les libertés publiques. »

Maintenant, toujours mon côté magnanime parce qu’aimant bien avoir tout les éléments en main pour comprendre et tirer une conclusion, je sais aussi qu’il en est de même pour vous. Alors, oui, voici l’intégralité du fameux décret. Il faut se l’infuser pour comprendre et mesurer pour témoigner. A vous de jouer :

 

« Le 12 septembre 2008 - JORF n°0152 du 1 juillet 2008 - Texte n°3 – DECRET - Décret n° 2008-632 du 27 juin 2008 portant création d’un traitement automatisé de données à caractère personnel dénommé « EDVIGE » - NOR: IOCC0815681D

Le Premier ministre,  

Sur le rapport de la ministre de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales, 

Vu le code de procédure pénale, notamment son article 777-3 ; 

Vu la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 modifiée relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, notamment son article 26 (I à III) ; 

Vu le décret n° 85-1057 du 2 octobre 1985 modifié relatif à l’organisation de l’administration centrale du ministère de l’intérieur et de la décentralisation, notamment son article 12 ; 

Vu le décret n° 2007-914 du 15 mai 2007 pris pour l’application du I de l’article 30 de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés ; 

Vu l’avis de la Commission nationale de l’informatique et des libertés en date du 16 juin 2008 ; 

Le Conseil d’Etat (section de l’intérieur) entendu, 

Décrète :

Article 1

Le ministre de l’intérieur est autorisé à mettre en œuvre un traitement automatisé et des fichiers de données à caractère personnel intitulés EDVIGE (Exploitation documentaire et valorisation de l’information générale) ayant pour finalités, en vue d’informer le Gouvernement et les représentants de l’Etat dans les départements et collectivités :

1. De centraliser et d’analyser les informations relatives aux personnes physiques ou morales ayant sollicité, exercé ou exerçant un mandat politique, syndical ou économique ou qui jouent un rôle institutionnel, économique, social ou religieux significatif, sous condition que ces informations soient nécessaires au Gouvernement ou à ses représentants pour l’exercice de leurs responsabilités ;

2. De centraliser et d’analyser les informations relatives aux individus, groupes, organisations et personnes morales qui, en raison de leur activité individuelle ou collective, sont susceptibles de porter atteinte à l’ordre public ;

3. De permettre aux services de police d’exécuter les enquêtes administratives qui leur sont confiées en vertu des lois et règlements, pour déterminer si le comportement des personnes physiques ou morales intéressées est compatible avec l’exercice des fonctions ou des missions envisagées. 

Article 2

Conformément aux dispositions de l’article 6 de la loi du 6 janvier 1978 susvisée, et dans la stricte mesure où elles sont nécessaires à la poursuite des finalités mentionnées à l’article 1er du présent décret, les catégories de données à caractère personnel enregistrées dans le traitement mentionné à l’article 1er et concernant des personnes physiques âgées de treize ans et plus sont les suivantes :

― informations ayant trait à l’état civil et à la profession ;

― adresses physiques, numéros de téléphone et adresses électroniques ;

― signes physiques particuliers et objectifs, photographies et comportement ;

― titres d’identité ;

― immatriculation des véhicules ;

― informations fiscales et patrimoniales ;

― déplacements et antécédents judiciaires ;

― motif de l’enregistrement des données ;

― données relatives à l’environnement de la personne, notamment à celles entretenant ou ayant entretenu des relations directes et non fortuites avec elle.

Les données collectées au titre du 1 de l’article 1er du présent décret ne peuvent porter ni sur le comportement ni sur le déplacement des personnes.

Le traitement peut enregistrer des données à caractère personnel de la nature de celles mentionnées à l’article 8 de la loi du 6 janvier 1978 susvisée. Celles de ces données autres que celles relatives aux opinions politiques, philosophiques ou religieuses, ou à l’appartenance syndicale ne peuvent être enregistrées au titre de la finalité du 1 de l’article 1er que de manière exceptionnelle. Il est interdit de sélectionner une catégorie particulière de personnes à partir de ces seules informations.

Le traitement ne comporte pas de dispositif de reconnaissance faciale à partir de la photographie.

Les données concernant les mineurs de seize ans ne peuvent être enregistrées que dans la mesure où ceux-ci, en raison de leur activité individuelle ou collective, sont susceptibles de porter atteinte à l’ordre public.

Les données collectées pour les seuls besoins d’une enquête administrative peuvent être conservées pour une durée maximale de cinq ans à compter de leur enregistrement ou de la cessation des fonctions ou des missions au titre desquelles l’enquête a été menée. 

Article 3

Dans la limite du besoin d’en connaître, sont autorisés à accéder aux informations mentionnées à l’article 2 :

― les fonctionnaires relevant de la sous-direction de l’information générale de la direction centrale de la sécurité publique, individuellement désignés et spécialement habilités par le directeur central de la sécurité publique ;

― les fonctionnaires affectés dans les services d’information générale des directions départementales de la sécurité publique ou, à Paris, de la préfecture de police, individuellement désignés et spécialement habilités par le directeur départemental ou, à Paris, par le préfet de police.

Peut également être destinataire des données mentionnées à l’article 2, dans la limite du besoin d’en connaître, tout autre agent d’un service de la police nationale ou de la gendarmerie nationale, sur demande expresse, sous le timbre de l’autorité hiérarchique, qui précise l’identité du consultant, l’objet et les motifs de la consultation. 

Article 4

Le traitement et les fichiers ne font l’objet d’aucune interconnexion, aucun rapprochement ni aucune forme de mise en relation avec d’autres traitements ou fichiers. 

Article 5

Conformément aux dispositions prévues à l’article 41 de la loi du 6 janvier 1978 susvisée, le droit d’accès aux données s’exerce auprès de la Commission nationale de l’informatique et des libertés.

Le droit d’information prévu au I de l’article 32 et le droit d’opposition prévu à l’article 38 de la même loi ne s’appliquent pas au présent traitement. 

Article 6

Sans préjudice de l’application de l’article 44 de la loi du 6 janvier 1978 susvisée, le directeur général de la police nationale rend compte chaque année à la Commission nationale de l’informatique et des libertés de ses activités de vérification, de mise à jour et d’effacement des informations enregistrées dans le traitement. 

Article 7

Le présent décret est applicable sur tout le territoire de la République. 

Article 8

Le présent décret entre en vigueur le jour de l’entrée en vigueur du décret n° 2008-631 du 27 juin 2008 portant modification du décret n° 91-1051 du 14 octobre 1991 relatif aux fichiers gérés par les services des renseignements généraux et du décret n° 2007-914 du 15 mai 2007 pris pour l’application du I de l’article 30 de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978.

Article 9

La ministre de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales est chargée de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.       

Fait à Paris, le 27 juin 2008. François Fillon - Par le Premier ministre : La ministre de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales, Michèle Alliot-Marie »

Partager cet article
Repost0
13 septembre 2008 6 13 /09 /septembre /2008 17:10

« Le développement durable est dans l'air du temps. Du discours politique au slogan publicitaire, le développement durable est devenu une valeur sûre, à tel point qu'aucune personnalité politique n'oserait aujourd'hui mettre en doute la pertinence de cette approche de crainte d'être "ringardisé". Pourtant, si le concept fait l'unanimité, les actes sont difficiles parce ce qu'il s'agit d'un changement profond dans notre manière d'appréhender le monde. Face à ce défi, le Modem est au pied du mur. Sera-t-il capable de proposer de nouvelles pistes d'actions ? Sera-t-il prendre les chemins de traverse et sortir des stéréotypes ?

Le développement durable est une approche transversale qui prend en compte à la fois l'environnement, l'économique et le social. Cette simple affirmation est en soi une révolution. C'est reconnaître que nous vivons dans un système. C'est accepter l'interdépendance entre les milieux, les groupes sociaux, les activités… Or, notre société fonctionne de manière fragmentée, cloisonnée et sectorisée. Comment dans ces conditions prendre en compte cette complexité, cette diversité, cette complémentarité ?

Le développement durable prend en compte le temps long. Les actions du temps présents   ne doivent pas mettre en péril l'avenir des générations futures. Cette approche temporelle est une réelle rupture dans notre monde de l'immédiateté. Elle prend tout son sens dans la lutte contre le changement climatique. Face à ce défi inédit dans l'histoire de l'humanité, des lois ou des accords internationaux n'hésitent plus à fixer des objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre à l'horizon 2050. Mais, comment s'assurer de la continuité de l'action politique avec des objectifs si lointains ? Comment penser le temps long ? Comment agir en ayant pour perspective un horizon à cinquante ou cent ans ? Comment agir dans l'incertitude ?

Le développement durable apporte également une autre vision de l'espace. Notre planète nous paraît de plus en plus étriquée. L'éloignement et 'isolement ne sont plus une protection. Certaines pollutions peuvent avoir un impact à des milliers de kilomètre de leurs lieux de rejet. Les émissions de gaz à effet de serre ont une incidence sur le système dans son ensemble quelle que soit leur lieux d'émissions. Nous sommes donc tous sur la même galère et nous sommes condamnés à ramer dans la même direction. Comment penser cette contraction de l'espace ? Comment agir de manière responsable en prenant en compte toutes les conséquences, y compris celles à l'autre bout de la planète ? Comment dialoguer avec nos voisins proches et lointains sur ces questions environnementales essentielles ?

La prise en compte des générations futures n'exclue pas le bien-être des générations présentes. Il est donc essentiel de lutter contre les exclusions, la pauvreté et les injustices. Il est urgent de restaurer le dialogue entre générations. Il est impératif de ne pas abandonner à la misère des territoires oubliés. Comment favoriser la cohésion sociale et éviter l'apartheid social ? Comment s'enrichir de la diversité ? Comment favoriser la connaissance et l'accès à l'éducation pour tous ? Comment défendre efficacement les droits de l'homme ?

Notre planète est finie et les ressources naturelles sont limitées. Les tensions sur le marché des matières premières s'accroissent et les prix s'envolent. Le pétrole, l'uranium, le cuivre, le platine et bien d'autres matériaux atteignent des sommets. De grands pays connaissent une croissance record et leur population veulent accéder à leur tour à la société de consommation. Mais, ce qui était possible hier devient de moins en moins possible. Le gaspillage n'est plus à l'ordre du jour. Nous entrons petit à petit dans l'ère de la sobriété. Notre consommation va changer et nos modes de vie en seront probablement bouleversés. Notre quotidien sera différent, ni mieux, ni pire, simplement différent.  Comment se préparer à cette rupture ? Comment s'adapter au changement ? Comment inventer une nouvelle voie ?

Le développement durable suppose qu'il y a développement. Il ne s'oppose pas à la croissance mais nous oblige à inventer une nouvelle forme de croissance. Dans l'avenir, produire demandera de plus en plus de technologie et "d'intelligence". Dans un monde de sobriété, le partage du monde entre pays ateliers et pays consommateurs n'aura plus de sens. De plus, quand le transport aura enfin un coût, la proximité deviendra une valeur. Attention, la proximité n'est pas l'isolement. Il ne s'agira pas de s'enfermer dans sa tour d'ivoire et de refuser les échanges. Il faudra arbitrer en permanence et décider de ce qu'il est pertinent de se procurer à proximité et de ce qu'il est raisonnable d'aller chercher à l'autre bout de la planète. Au-delà des prix, les émissions de gaz à effet de serre pourraient peser dans nos décisions. Comment libérer l'esprit d'innovation pour se préparer à ces mutations ? Comment ne pas se laisser aveugler par nos peurs ? Comment ne pas laisser une partie de la population sur le bord de la route ? Comment anticiper ces bouleversements ?

Le développement durable est le contraire du repli sur soi. Dans un monde globalisé, il vaut mieux jouer collectif. C'est pourquoi l'Europe est une force dans la compétition mondiale. L'Europe est bien plus qu'un marché à nos portes. C'est une histoire et un gage de paix. C'est une culture. C'est une voix originale dans le concert mondial. Même si les  dysfonctionnements sont nombreux, même si sa mise en œuvre est complexe et trop technocratique, même si les Européens ne parlent pas d'une seule voix, l'Europe reste un grand projet. Comment poursuivre la construction européenne ? Comment rendre l'Europe plus efficace ? Comment associer davantage les citoyens à la construction européenne ?

Enfin, le développement durable ne peut pas se faire contre les citoyens mais pour et avec eux. Il est indispensable d'agir dans la transparence et la démocratie. Les citoyens doivent être impliqués et participer aux décisions. Ce sont eux les acteurs essentiels du changement. Comment diffuser l'information ? Comment impliquer davantage les citoyens à la décision publique ? Comment rendre compte des avancées et des échecs ?  Comment dialoguer entre acteurs ?

Les questions sont nombreuses.

Le développement durable n'est pas un mode d'emploi mais une manière de réfléchir afin d'agir juste. C'est un chemin inconnu et plein d'embûches.

Le Modem saura-t-il par son esprit d'ouverture et sa capacité créative avancer dans cette voie nouvelle ? »

Partager cet article
Repost0
9 septembre 2008 2 09 /09 /septembre /2008 22:03

Logiquement, je devrais vous faire un beau compte-rendu académique de cette Université de Rentrée mais je choisis le reportage photos. Je vous dirais quand même qu’une fois de plus, j’ai assisté à des interventions de très haut niveau : Jean PEYRLEVADE, notre économiste patenté, Jean-François KAHN, féru de liberté, rien ne l’arrête, Hubert VEDRINE, fin analyste de politique mondiale (non, il n’est pas MoDem !) et tant d’autres génies de l’Europe qui aime à nous la faire aimer cette Europe mais là aussi, pas simple et pas peur de le dire avec un nom que j’ai entendu souvent : DE GAULLE…

Je vous fais grâce des tonnes d’eau que j’ai prises sur la tête avec mes copines Modem. Les alertes orange dans la vallée du Rhône, ça ne rigole pas ! Alors stop à l’hôtel sur l’autoroute et dodo ! J’ai pris 130 photos ! Choisir, pas facile… Alors, en voici quelques unes.

D'abord, la vue du village "Modem"

L’arrivée et déjeuner avec horde de journalistes
Le voilà !
Jean-François KAHN

Discours d’ouverture

Coucou ! C’est nous ! « Rassembler Nos Différences pour Construire un projet »

Hubert Védrine et Big Chief

Coucou ! C’est re-nous ! « Rassembler Nos Différences pour Construire un projet » ou lui avec Corinne LEPAGE

Pause cannoise avec - aussi - bain de mer à 25° et les vagues de vent du Sud. La fin de saison dans les Alpes Maritimes, carrément génial !


Retour à Cap estérel : Je l’ai appelé, il m’a entendu !




En voilà trois pas mal du tout : Corinne LEPAGE et Gilles ARTIGUES, le Grand Sage que je n’aurai de cesse de remercier pour sa clairvoyance et… Le Président des Jeun’s !

Jean LASSALE, l’Héroïque ! C'est comme ça que François BAYROU l'appelle. Je partage complètement.


Discours de clôture, c’est parti !


Coucou, c’est re-re-nous ! Mais, oui, celui qui tourne la tête, le grand au milieu, oui, c’est lui « Rassembler nos Différences pour Construire un Projet ». Pour la Présidence : Michel MUDRY !


C’est la fin et 4 photos sublimes. Je n’ai pas pu choisir.


La horde de journalistes encore ! D'ailleurs, je signale que j'ai passé beaucoup de temps avec eux et tous ont été très sympas avec la blogueuse que je suis avec mes reportages à moi avec mon portable ridicule que je ne sais toujours pas faire zoomer pour mes photos à moi ! Respectueux les gars et les filles pourtant, ils y avaient de sacrées pointures pour de sacrées presses !


Marielle DE SARNEZ pour nous et Jean PEYRLEVADE aussi !


C’est le départ pour lui et pour nous


Alors, oui, on rentre, gonflés à bloc pour « Rassembler Nos Différences pour Construire un Projet » et nous retenons ceci, gravé dans nos cœurs :

 

« Nous avons montré tout au long de ces trois jours que notre volonté et notre détermination étaient de parler aussi avec des gens qui, jusqu'à maintenant, n'étaient pas d'accord avec nous, de parler avec des gens différents de nous pour, un jour, pouvoir construire avec des gens qui, jusqu'à maintenant, étaient différents de nous.

 

Moi, quand je vois des concitoyens qui ont eu jusqu'à maintenant un parcours, un engagement, une filiation qui n'était pas la mienne, je ne vois pas en eux des ennemis, des adversaires ou des étrangers, je vois en eux des concitoyens et nous aurons bien besoin les uns des autres le jour où il s'agira de construire ensemble !

 

Je sais bien qu'il n'est pas facile de passer les frontières, mais c'est en passant les frontières que l'on bâtit des pays pionniers. »


S’il y en a un qui me pique mes photos, je l’étrangle sauf J.-C. G. qui peut et c’est tout !

 

Ca fait 4 jours que je suis rentrée et… pour ceux qui se compromettent encore aujourd’hui, je redis ce que j’avais écrit fin juin sur mon blog « J’assume les amitiés de mes contradicteurs qu’ils soient du PS ou de l’UMP et même du PC ». Je ne vois pas comment la démocratie peut avancer sans l’échange avec ceux-là aussi. Je tremble devant ceux qui prétendent tout savoir et ne s’entourent que d’eux même. Je suis en colère contre ceux qui écrasent au lieu de construire. L’Histoire s’en souvient…

 

Affections Démocrates !


Partager cet article
Repost0
3 septembre 2008 3 03 /09 /septembre /2008 17:23

Non mais vraiment, cette actualité ! Voilà donc 50 indépendantistes qui déboulent dans un lotissement corse pour se faire remarquer et… v’la ti pas que le ou les habitants ou Christian CLAVIER en pleine panique jette le coq dans la piscine et… il est mort ! Sauf que le coq était en plastique... Consternant ! Alors hop ! Le Directeur de la Police Corse muté à Paris dans l’instant.

 

Non, mais qu’est-ce qu’il est fort ce Nico, d’aller au secours de son copain Christian CLAVIER qui a eu la trouille de sa vie ! Oui… Oui… Oui… sorti des planches du théâtre ou des caméras, figurez-vous le monde existe et en plus, il manifeste ! Les manants ! Mais, dixit le Ministère, le danger était grave !... 50 manifestants, c’est grave.

 

Je n’ai aucun doute sur la capacité de ce directeur à avoir su évalué ce danger comme pas grave. Prévenir tous les habitants pour une tempête dans un verre d’eau était complètement inutile et surtout risquer ici une psychose générale. Les gendarmes étaient présents. Il n’y a eu aucun problème.

 

Si à chaque fois qu’un risque de mini agitation doit faire muter un Directeur de la Police, alors, dans le « neuf cube », reste à Nico de faire changer le Directeur toutes les 5 minutes plus tous les autres quartiers où ça n’est pas simple.

 

Quant aux institutions gérées à hauts risques, autant penser qu’aucun Directeur de la Police ne voudra travailler sur leurs territoires… Le nombre d’articles que je reçois d’Anticor avec des affaires à faire muter des Directeurs de la Police pour risque grave pour le portefeuille des contribuables est hallucinant… Ce soir, réunion de Bureau des Amis d’Anticor pour regarder les nouveaux statuts qui allient élus et non élus à Anticor. J’ai lu. C’est excellent, les procédures d’exclusion sont très claires et nos obligations tout autant. Alors à votre vigilance, c’est mieux comme ça !

 

Christian CLAVIER, t’es plus drôle, OKAAAYYYYYYYYYYYYYYYY !

Partager cet article
Repost0
27 août 2008 3 27 /08 /août /2008 22:52

« Olivet, le 25 Août 2008

 

LETTRE AUX ADHERENTS DU MOUVEMENT DEMOCRATE DU LOIRET

 

Chers amis,

 

Comme je vous l’avais annoncé le 10 Août, je reviens aujourd’hui pour vous dire plus précisément la nature de ma motivation et le sens de mon engagement dans cette élection pour la constitution de la présidence de notre Mouvement départemental.

 

Le combat de François Bayrou nous a réunis par vagues successives, essentiellement depuis la Présidentielle de 2002. Celle de 2007 a été pour nous une aventure exceptionnelle, après les élections régionales, puis européennes. C’est elle qui a fait venir beaucoup d’entre vous et donné son visage au Mouvement qui en est né. Et puis, nous avons eu à affronter l’aventure difficile mais bien intéressante des élections du mois de mars. Aujourd’hui, nous attendons tous qu’un nouvel élan soit donné à notre démarche collective. Bien sûr cela dépend beaucoup de l’échelon national. Mais je crois que l’installation des nouvelles instances des Mouvements Démocrates départementaux doit être l’acte fondateur initiant ce nouvel élan. J’ai entendu nombre d’entre vous exprimer cela dès le printemps. Et beaucoup le pensent. Nous allons avoir à dire quel projet de Mouvement nous voulons dans le Loiret. Expliciter en termes d’objectifs l’ambition que nous en avons.

 

Tel est le moteur de mon engagement et de ma décision.

 

Cette décision est aussi le produit d’une analyse objective de la situation du MoDem, à l’échelle nationale et dans le Loiret en particulier. Cette analyse, que nous pouvons facilement partager je crois, montre que, dans le combat qui nous attend, nous aurons à faire face à un triple défi.

 

Tout d’abord, à l’inverse des deux partis dominants, notre principale richesse est faite de nos adhérents, même si nos élus nous sont précieux en raison même de leur rareté. Les statuts donnent à la présidence départementale une mission essentielle « d’animation » du mouvement. Aussi, sans tarder davantage, elle devra proposer un mode d’organisation qui soit naturellement mobilisateur pour tous les adhérents. Chacun doit pouvoir apporter ce qu’il souhaite, ce qu’il peut. Cette organisation doit être adaptée au grand nombre, c'est-à-dire très décentralisée et non pas dépendre d’un petit club d’initiés comme c’est souvent la cas. En effet, l’enjeu est non seulement de s’assurer de la participation de l’essentiel des 550 adhérents actuellement recensés, mais d’en accueillir beaucoup d’autres au cours des trois années qui viennent. Je veux que vous sachiez que je mesure l’importance de ce défi interne.

 

Le second défi, de nature externe celui-là, est que nous aurons à assurer la visibilité du Mouvement Démocrate dans toute la société, à affirmer sa présence. A l’échelle du Département, c’est là l’autre mission de la présidence. De ce point de vue, il m’est apparu qu’il est aujourd’hui de mon devoir de mettre pleinement mon mandat de conseiller régional au service du Mouvement. Nous devrons faire connaître le projet démocrate, dont le cadre vient d’être récemment posé et qu’il nous appartiendra d’enrichir. Il nous faudra combattre le reproche d’illisibilité qui nous est facilement fait. Pour cela, l’accès aux medias et le contact avec eux est chose indispensable. Par ailleurs, il nous faudra être fort pour mener les nécessaires conversations avec les deux partis qui s’entendent volontiers pour accaparer la vie politique de notre pays.

 

Le troisième défi concerne le fonctionnement de la présidence elle-même. Comme vous le savez, nos statuts font preuve d’innovation politique en instituant une présidence collégiale (de cinq personnes) à la direction des mouvements départementaux. Et l’innovation est d’autant plus grande que, lorsque plusieurs listes présidentielles sont en lice, la présidence est constituée à travers une représentation proportionnelle. Lorsque deux listes au moins concourent, la présidence a donc toutes chances d’être composite. Pour autant, les statuts disposent que « les membres de la présidence s’obligent à une action solidaire ». On voit ainsi que la présidence est conçue comme une seule personne, et non comme un mini-conseil. Elle est fondamentalement unitaire. Ensuite, cette personne s’entoure d’un trésorier et, en accord avec les instances nationales, d’un délégué départemental, ainsi que de délégués spécifiques à des fonctions d’animation. Vous comprendrez que s’assurer d’un fonctionnement efficace et rassembleur de ce dispositif représente un réel défi, compte tenu des habitudes françaises en la matière, en particulier dans le monde politique. Or ce défi conditionne évidemment et très fortement la maîtrise des deux autres. Je voulais vous dire dès maintenant que, pour avoir dans le passé assumé des fonctions de direction ou de présidence, je suis particulièrement sensible à cet aspect des choses et que cela compte pour beaucoup dans ma détermination. Nous devons avoir l’ambition que le Mouvement Démocrate du Loiret soit exemplaire à cet égard.

 

Voilà donc assez succinctement les éclairages que je voulais vous donner à propos de mon engagement. Vous connaîtrez dans quelques jours la liste que nous avons constituée pour nous présenter devant vous. Et nous vous proposerons alors la traduction concrète des orientations que je viens d’esquisser.

 

Bien cordialement à toutes et à tous

 

Michel Mudry »

Partager cet article
Repost0
23 août 2008 6 23 /08 /août /2008 18:54

On arrive vraiment à la fin des vacances, de retour du boulot, hé oui, quelquefois je travaille le samedi, RN20 et Autoroute bondées dans le sens des retours, vers la capitale. Alors, je les imagine en train de commencer de regretter les vacances, penser à préparer la rentrée scolaire des petits, reprendre à leur tour le collier de misère, préparer les élections internes du Modem et… d’un coup, une autre chanson qui me vient dans la tête ! Maurice Chevalier ! On est en plein dans le sujet ! Ou plutôt, tant pis pour ceux qui n’y sont pas…  Alors voilà :

 

Maurice Chevalier - Opérettes

 

« Dans la vie, faut pas s'en faire

 

Paroles: Albert Willemetz. Musique: Henri Christiné   1921
© Editions Salabert
autres interprètes: Albert Préjean (dans le film en 1934), Luc Barney, Jean Sablon (1961) Andrex (1977)
note: Chanson extraite de l'opérette et du film "Dédé".

 

En sortant du trente et quarante
Je ne possédais plus un radis
De l'héritage de ma tante
Tout autre que moi se serait dit
Je vais me faire sauter la cervelle
Me suicider d'un coup de couteau
M'empoisonner me fiche à l'eau
Enfin des morts bien naturelles
Mais voulant finir en beauté
Je me suis tué à répéter :

Dans la vie faut pas s'en faire
Moi je ne m'en fais pas
Toutes ces petites misères
Seront passagères
Tout ça s'arrangera
Je n'ai pas un caractère
A me faire du tracas
Croyez-moi sur terre
Faut jamais s'en faire
Moi je ne m'en fais pas

Je rentre à Paris mais mon notaire
M'annonce : votre père plein d'attention
Vous colle un conseil judiciaire
Et vingt-cinq louis par mois de pension
Et comme je ne vois plus personne
Dont vous puissiez être héritier
Faut travailler prendre un métier
C'est le conseil que je vous donne
Uniquement vous voudriez
Que je vole le pain d'un ouvrier

Dans la vie faut pas s'en faire
Moi je ne m'en fais pas
Ces petites misères
Seront passagères
Tout ça s'arrangera
Je n'ai pas un caractère
A me faire du tracas
Croyez-moi sur terre
Faut jamais s'en faire
Moi je ne m'en fais pas

Dans la vie faut pas s'en faire
Moi je ne m'en fais pas
Je n'ai pas un caractère
A me faire du tracas
Croyez-moi sur terre
Faut jamais s'en faire
Moi je ne m'en fais pas »


A bientôt !

Partager cet article
Repost0
18 août 2008 1 18 /08 /août /2008 12:43

« Chers socialistes, vous ne vous aimez pas. Voilà pour moi le fait majeur; celui qui, plus que la panne d’électricité intellectuelle, plus même que le défaut d’un leader incontesté, explique le doute qui plane aujourd’hui sur le PS et la difficulté qu’il a d’exister comme parti.

J’ai failli commencer cette lettre en vous donnant du «chers camarades». Et puis, non. Je ne puis vous appeler camarades puisque vous n’arrivez même pas à vous conduire en camarades. Je connais quelques-uns d’entre vous personnellement. Chacun a des qualités, des défauts, des manies, des amours, un musicien favori, des souvenirs d’enfance; parfois même un idéal. Un être humain en somme. Que l’on vous voie réunis et le cauchemar commence. Ce ne sont que coups tordus, allusions perfides, manoeuvres d’arrière-salle de bistrot. Et surtout la haine. Oui, la haine entre vous.

L’ambition aussi bien sûr, et cela est normal. Mais la haine ? Je scrute les visages, car c’est la chose la plus intéressante du monde. J’ai vu l’autre jour l’arrivée en groupe, à je ne sais quelle réunion fractionnelle, de ceux qui s’appellent, Dieu sait pourquoi, les reconstructeurs, puisqu’ils passent leur temps à démolir. Mais qu’importe ! Cela, c’est de la politique politicienne. Ce qui m’importe, c’est le reste. Les mimiques faussement détachées, les rictus derrière des airs d’impénétrable sérénité. Les plis du visage, ceux qu’impriment sans retour les nuits blanches des commissions de résolution, le scepticisme de bon ton, le cynisme, le mépris de l’autre, l’envie de tuer. Mais comment des êtres humains normaux peuvent-ils respirer et accepter volontairement de vivre dans des atmosphères aussi empoisonnées ? C’est pour moi un mystère.

Tenez, le cas Ségolène. Je n’avais pas d’affinités particulières avec elle, et pour la candidature présidentielle, j’inclinais au départ pour François Hollande. Mais après que vous l’ayez désignée, je me suis mis à la soutenir sans arrière-pensées. Pas vous ! Vous devriez avoir honte de la façon dont vous avez traité et dont vous traitez encore votre candidate. Avez- vous fait assez de gorges chaudes à propos de ses positions hostiles au nucléaire iranien, fût-il civil ? Lequel d’entre vous a-t-il reconnu qu’elle avait raison ? Quand elle déclare justement que la libération d’Ingrid Betancourt ne doit rien à la diplomatie française, vous faites cause commune avec toute la droite : décidément, cette effrontée ne sait pas se tenir. Quand elle dénonce en Nicolas Sarkozy le parti de l’argent, vous toussotez et regardez ailleurs. Quand, victime de trois effractions et mises à sac très suspectes, elle finit par s’interroger publiquement sur la mansuétude de la police, votre souci est de l’enfoncer. Des preuves ! On veut des preuves ! Avec des camarades comme vous, les aboyeurs professionnels de l’UMP peuvent partir en vacances.

Il faut croire qu’il y a dans ce bouillon de culture délétère de la Rue-de-Solferino quelque chose de contagieux, quand on voit à son tour Ségolène se déchaîner contre Jack Lang, coupable d’avoir voté selon ses convictions au Congrès de Versailles. Comment une femme comme elle, qui n’a pas craint de défier l’orthodoxie et la discipline de son parti à la veille du second tour de la présidentielle, en prenant langue avec François Bayrou, peut-elle se laisser aller à traiter Jack Lang de «traître», pour quelque chose d’infiniment moins grave ? Quelle imprudence ! Quelle inconséquence ! Quel alignement moral sur ses pires ennemis !

Continuez tous comme cela et la réélection de Sarkozy est assurée. Car enfin, s’il n’y a pas entre militants socialistes un minimum d’amitié, d’estime, de solidarité; s’il n’y a pas un peu de cette fibre fraternelle qui nous rend proches d’Eugène Varlin, de Jean Jaurès, de Pierre Mauroy, alors Manuel Valls a raison : il faut vite changer de nom; ce parti ne mérite plus de s’appeler socialiste. Au fait, je connais le jour où Ségolène Royal vous est devenue définitivement insupportable. C’était à Charléty, à la veille du premier tour de la présidentielle. Elle s’était écriée : «Aimons-nous les uns les autres !» Décidément, cette femme est folle, on vous l’avait dit. »

Jacques Julliard - Le Nouvel Observateur

Chapeau bas aussi à « Horza «  pour avoir eu le courage de publier cet article sur son blog.

Partager cet article
Repost0
17 août 2008 7 17 /08 /août /2008 21:46

A ceux qui ont lu le précédent article publié, même si loin de moi l’idée est d’y soustraire une virgule ; de retour de Bretagne, je me dis qu’il faut savoir remettre au lendemain ce qu’on peut faire le jour même…

 

Il semble que son auteur l’ait destiné à quelqu’un en particulier, qui, je pense, a dû  se reconnaître…

 

Non que les commentaires ne fussent pas intéressants (pas tous malheureusement) mais… à nouveau, je trouve des pseudos et surtout aucune adresse mail pour pouvoir échanger avec les auteurs.

 

Alors, le temps passant, j’en suis à me dire que je ne publierai plus de commentaire dont l’auteur ne donne pas son adresse mail parce que le principe qui consiste à se cacher pour se lâcher me choque. Oui, les lettres anonymes, les institutions en reçoivent. Je pense savoir en quelle considération elles ont leurs auteurs. Poubelle pour les ordures.

 

Alors, je vais faire pareil maintenant :

 

Tout commentateur qui refuse obstinément que je l’identifie ne serait-ce que par son adresse mail, ira publier ailleurs, surtout s'il n’apporte rien d’intéressant ou de drôle aux débats.

 

Merci aux courageux, aux femmes et aux hommes libres qui argumentent, critiquent, enrichissent, inventent bref, des gens normaux quoi…

 

Pour ces auteurs anonymes, je conseille : Putching ball, petits cachets roses, le divan de psy etc.

C'est ma troisième piqûre de rappel...

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de Gabrielle AUDEFROY
  • : Blog politique INDEPENDANT créé pour les élections du canton de Beaugency mais aussi actualités, idées, débats de politique générale, culture, humour.
  • Contact

Archives