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23 avril 2008 3 23 /04 /avril /2008 22:40
« La jeune mère infanticide de Beaugency fait appel

Sophie Rymer, la jeune mère reconnue coupable d’infanticide par les jurés de la cour d’assises du Loiret et condamnée à douze années d’emprisonnement (Libération du 5 avril 2008), vient, contre toute attente, de faire appel de ce verdict. Elle risquait pourtant trente ans de réclusion criminelle. Elisabeth Gayet, l’avocate générale, en avait requis vingt. Les jurés lui ont accordé des circonstances atténuantes. En février 2006, Sophie Rymer laissait Julien, son fils âgé de quatre ans, mourir de faim. Après l’avoir enterré à mains nues sur les bords de la voie ferrée à hauteur de Beaugency, elle reprenait ses discussions sur un forum Internet, continuant de donner aux internautes de sa communauté virtuelle des nouvelles de Julien, leur transmettant photos et vidéos jusqu’à un mois après les faits (Libération du 20 avril 2006). Le procès qui s’était tenu du 2 au 4 avril 2008 à Orléans avait permis de mieux cerner le profil de cette jeune mère visiblement dépassée.

M.Gd »

J’ajoute, entendu sur France Bleu (erratum... c'était Nostalgie) ce matin, qu’elle fait appel de cette décision car elle veut passer plus de temps avec son deuxième enfant… Espérons qu’elle restera en préventive et que ce deuxième enfant sera préservé de cette mère criminelle. Car, le pire est que les enfants maltraités réclament quand même leurs parents. Je compte très fort sur les « Responsables Décideurs » pour laisser un espace de vie à ce petit enfant qui doit absolument, comme tous les enfants, construire sa vie et ne plus être alimentée par ces horreurs dont aucun enfant n’a besoin, même par ses parents, surtout par ses parents ; ici sa mère…

J’ajoute aussi que pendant ma campagne électorale, j’ai rencontré des victimes de cambriolage dont cette mère faisait partie de la bande de bandits et qu’elle n’en était pas à son coup d’essai…

De là à espérer qu’en appel, elle prenne 20 ans comme l’avait requis l’avocate générale est très près du sentiment de dégoût que j’ai pour cette affaire terrible.

Bonne nuit à ceux que ça n’empêche pas de dormir…

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22 avril 2008 2 22 /04 /avril /2008 21:41

J’ai pris connaissance du droit de réponse du Conseil Général du Loiret à propos des maltraitances dénoncées dans cette institution : Surréaliste ! Comme dit quelqu’un que je connais bien… Quoi d’autre encore ?... Où comment se défendre en jetant le doute sur ceux qui ont dénoncé. Vous avez bien compris, la CFDT est confédération de benêts paranoïaques !...

 

Heu… Quoi d’autre encore. A oui ! Où bref, cette institution est parfaitement bien encadrée, gérée pour tout le bonheur de tous et donc que les agents sont, eux aussi des benêts psychopathes. De supermarché, tant qu’à faire…  Des poules mouillées, somme toute !… Désolée chers anciens collègues.

 

Sans oublier, les affreux journalistes, les affreuses feuilles de choux… Il n’y a pas que Libération…

 

Il y a eu AUSSI la République Centre de Mardi dernier, j’ai lu ! Le pire : Si les agents ont des problèmes au boulot c’est qu’ils ont des problèmes chez eux… TROP FORT, c’est donc de la faute de leur famille… Ils ont osé, je ne le crois pas…

 

Tout le monde n’a pas la chance d’avoir comme organe de presse la belle publication que sont « Reflets du Loiret » !

 

Bon allons-y, place à Libération, et bien sûr, le commentaire de Mourad GUICHARD sera là pour vous éclairer :

 

« DROIT DE REPONSE : CONSEIL GENERAL DU LOIRET

 

Dans un article intitulé « Des maltraitances dénoncées au Conseil Général du Loiret », Libération a relaté des faits erronés. Mis sous le vocable de « maltraitances », ils proviennent soit de propos d’une responsable syndicale, soit de l’auteur de l’article lui-même. Le Conseil Général dénonce ces propos diffamatoires faisant atteinte à son honneur, à celui de ses élus et à celui de l’ensemble de son personnel. Certaines organisations syndicales tentent de faire passer l’idée que des actes s’apparentant à de la maltraitance ont lieu au sein de l’administration départementale. A plusieurs reprises, et compte tenu de la gravité de ces faits, s’ils étaient avérés, la CFDT a été invitée au dialogue. Il a été demandé – au titre de devoir d’alerte – d’exposer les situations dont elle aurait éventuellement eu à connaître afin que l’attention nécessaire soit portée à la résolution de ces situations. Les responsables de la CGDT n’ont pas donné suite et préféré alimenter une rumeur. Dans le cadre d’un appel à la grève national portant un ensemble de revendications, ce sujet a été remis dans l’actualité non sans arrière pensée politique. Pour preuves, les propos qui auraient été tenus à Libération à l’égard des Conseillers généraux socialistes qui, « ayant été alertés, n’auraient donnés suite par peur de perdre les subventions de leur canton par le Département ». Ces derniers lors de la session du 4 mars à l’Hôtel du Département ont démenti unanimement et solennellement avoir tenu de tels propos qui, ont-ils précisé, portent atteinte à leur dignité. La méthode employée montre bien la dérive verbale du syndicat. Suite à la récente décentralisation, le Conseil général du Loiret a vu ses effectifs passer de 1000 à 2300 agents en un temps record. Ceci n’est certainement pas sans poser un certain nombre de difficultés. Au delà de la polémique sur la méthode employée, faite de caricature et d’exagération, le message des organisations syndicales a été entendu. L’objectif de faire avancer de manière constructive le dialogue semble désormais partagé. Les dispositifs de concertation qui viennent d’être mis en place devraient permettre que soit retrouvée la sérénité nécessaire à la conduite des missions et responsabilités de chacun. Le Conseil général du Loiret »

 

« M. Doligé, président du conseil général du Loiret, parle de propos diffamants qui sont pourtant confirmés par des élus de tout bord, des cadres et agents territoriaux, ainsi que par des journalistes locaux évoquant la « difficulté d’en parler librement ». Le 4 mars, le groupe socialiste au Conseil général a produit un communiqué appelant au « respect du personnel par la hiérarchie ». Le 15 avril, le groupe communiste a également demandé des comptes. Il semblerait donc que Mr Doligé soit le seul à ne pas connaître cette conception très musclée du management qui règne dans ses murs et à parlé de « faits erronés ». Mourad Guichard. »

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19 avril 2008 6 19 /04 /avril /2008 18:46
Encore un grand moment très sympa avec une bande de politiques qui, en tous les cas, se le disent.... dont je suis !

D'abord, 2 VIEUX DE LA VIELLE :

L'inénarrable CDG - Christophe DESPORTES-GUILLOU - Son Altesse Militante du Parti Socialiste Orléano-orléanais, la plus belle ville du monde dans le monde qui n'aime pas les voitures mais que le vélo ou le tram et qui sait des choses qu'on ne sait pas et que... quand, il arrête d'être sérieux, a la trombine que vous voyez et... rigolade à gogo... (blog mon orléans). Bon, quand il est tard, il se fait ramener en bagnole mais... chut !



BCT est Michel dont les commentaires philosophico-humanistes sur tous les blogs nous appellent toujours au bon sens et l'analyse fine sauf... qu'il va bientôt passer son permis poids-lourds pour mettre des belles photos dans son camion ! (clin d'oeil à la superbe exposition de photos actuellement au Petit Bouchon)

ET... ET... LA SAGA DES BESTIOLES, LE RETOUR AVEC... ENFIN

LE RENARD :


Baptiste CHAPUIS qui, scoop du soir, a enfin retrouvé son doigt ! Conseiller municipal d'opposition de la ville d'Orléans, privé d'agglo je n'ai pas compris pourquoi mais est - SURTOUT - notre plus gentil organisateur de République des Blogs. Et... il est rusé comme... un RENARD et futé avec ça, ce qui ne gate rien. Sacré farceur va ! (blog : place de la république - Horza)

L'ECUREUIL :


Grégoire CHAPUIS, digne frère du grand, au regard écarquillé... candide... innocent... de l'ECUREUIL qui cherche un nouvel arbre pour sauter, lui manque le poil sur les oreilles mais, il l'a quand même au menton... Son blog avec ses copains, c'est le lac des signes (Gregz). Ca décape et ça décoiffe. 

Plus tous les autres dont Miguel qui a fait une vidéo à découvrir sur son blog (côté boulevard), JeanduModem notre génie européen etc...
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19 avril 2008 6 19 /04 /avril /2008 11:14

Rappelons nous le l’épisode 1 « L’économie des vaches ». Cet épisode 10 nous rappelle nous rappelle un autre genre « d’économie des vaches »… Les vaches à lait que nous sommes…

 

1 Minute de réflexion : 


« Ce qui suit m'a laissé perplexe, moi qui ne suis ni matheux, ni économiste.....

 

Pour toutes les Vaches à lait de France mais aussi de toute l’Europe.


Un peu d'histoire

 

- En l'an de grâce 2000 après JC (quand même) nous avions 1 Dollar à 1,2 Euros et 1 baril de Pétrole à 60 Dollars.

 

Soit le baril à 72 Euros et on payait 1,00 Euro / litre environ

 

De nos jours en 2008 après JC (toujours encore)


Nous avons 1 Dollar à 0,65 centimes d'Euro et 1 baril de pétrole qui a explosé à près de 110 Dollars.

 

Soit le baril à 71.5 Euros (Oups !) et on leur donne 1,25 Euros / litre


Et la, très chères Vaches à lait

 

On se pose la question suivante :

 

Si le baril est moins cher pour nous en Europe qu'en 2000, pourquoi l'essence est-elle 25% plus chère qu'en 2000 ?


Il y en a qui doivent se remplir les poches !!!!!


Alors très chères Vaches à lait continuez de travailler sagement car le jour viendra ou le dollar remontera et là je ne vous dis même pas !


Faites suivre au maximum de personnes, il faut que tout le monde le remarque.


On est des "Vaches à lait" mais pas des imbéciles !!!!!! »

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15 avril 2008 2 15 /04 /avril /2008 22:53
Souvenez-vous de cette mère à Beaugency qui a laissé son enfant mourrir de faim. Voici un extrait de l'article de Mourad GUICHARD :


"Au commissariat où elle est allée alerter du «kidnapping», Sophie R. n'arrivera pas à mentir longtemps. Le parc où l'enfant est supposé avoir été enlevé est fermé ce jour-là. Dans un communiqué publié quelques jours plus tard, le procureur évoque l'action des services sociaux pendant les vingt derniers mois et précise : «L'équipe rencontrait régulièrement la famille jusqu'au mois de novembre 2005. Il convient de souligner qu'aucun élément de danger physique ou imminent n'a jamais été évoqué, y compris dans les dernières semaines, et que le placement n'a jamais été proposé par les intervenants sociaux.» "

Les services sociaux n'ont donc rien à se reprocher et plus encore, surtout leurs chefs d'établissement, nos si chers élus !...

Elle risquait 30 ans, elle en a pris 12... Les services sociaux n'ont vraiment rien du tout à se reprocher... et encore moins nos si chers élus... Désolée, mes anciens collègues, mais cessez de tolérer l'intolérable.

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10 avril 2008 4 10 /04 /avril /2008 21:34

MERCI MOURAD (LIBEORLEANS) POUR TON INFO. DONC CI-DESSOUS, UNE FAUSSE INFO QUI CIRCULE ET RAPPELONS NOUS MON "QUID DES CANDIDATS", DONC VOICI UNE... INTOX :

« IMPORTANT


Ceci s'est passé à Paris. Il y a quelques semaines de cela, dans un cinéma, une personne s'est assise sur quelque chose de piquant sur un des sièges. Lorsqu'elle s'est relevée pour voir de quoi il s'agissait, elle a trouvé une aiguille plantée à travers le siège avec une note attachée disant : 'Vous venez d'être infecté par le VIH'.
Le Centre de Contrôle des Maladies rapporte plusieurs événements similaires dans plusieurs autres villes récemment. Toutes les aiguilles testées sont positives VIH. Le Centre rapporte qu'on a trouvé des aiguilles aussi dans les retours de monnaie de distributeurs publics. Ils demandent à tout le monde d'user d'une Extrême prudence quand vous serez confronté à ce genre de situation. Toutes les chaises publiques devraient être inspectées avec vigilance et prudence avant usage. Une inspection visuelle minutieuse devrait suffire. De plus, ils demandent à chacun de communiquer cet avis à tous les membres de votre famille et vos amis du danger potentiel.

Merci.

L'information mentionnée ci haut a été envoyée par la police municipale de la Ville d'Issy Les Moulineaux à tous les départements d'Ile de France qui ont diffusé la nouvelle dans toutes les villes.

 

On m'a demandé de passer ceci au plus grand nombre de personnes possibles.


Ceci est très important !!! Pense que tu peux sauver une vie juste en redistribuant ceci.

 

S.T.P. prends quelques secondes de ton temps pour faire passer le message »

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6 avril 2008 7 06 /04 /avril /2008 12:10

On me demande ce que j’attends des politiques en matière pénale, ce qui me déçoit en eux sur ce sujet et ce qui ferait que je voterai pour un programme sur cette matière. Vaste sujet.

 

N’étant pas un lapin de six semaines et ne souffrant pas d’Alzheimer, je n’attends rien, n’ai plus la moindre illusion sur l’honnêteté des politiques.
Même les débutants qui y croient sûrement, (je veux bien leur laisser le bénéfice du doute mais n’en suis même pas convaincu au fond, confrontés aux responsabilités, se laissent aller aux chants de sirènes, prennent goût aux (abus de) pouvoirs, doivent ou devront rendre des services et en demander.

Les gens (on ne peut dire le Peuple sans faire sourire) demandent qu’on mette en prison les voleurs de voitures, si on pouvait même les pendre sans jugement ce serait cool, parce qu’ils ont une voiture. Ils voudraient que les politiques soient honnêtes mais reconnaissent qu’à leur place, ils se sucreraient aussi. Cela permet à ceux qui sont en place de tout se permettre. D’autant qu’ils font les lois, en connaissent chausse-trappes et méandres (ils laissent même toujours dans les textes de quoi les contourner).

On parle de réduire la durée de prescription des affaires financières, pourquoi ? Mais pour être tranquille bien-sûr, alors que dans le même temps on durcit les lois sur les mineurs, la délinquance dite de voie publique (trafic de stupéfiants, vols de voiture, à main armée, à la tire, à l’étalage….). Si personne n’a réagit à mes détournements dans les trois ans, Circulez, il n’y aura plus rien à voir.  Comme si la délinquance financière n’était plus violente, en matière de démocratie, que le vol d’un téléphone portable, souvent assuré d’ailleurs. Les dégâts dans l’opinion que font nos escrocs au pouvoir se voient dans l’abstentionnisme. Cela fait belle lurette qu’ils ont perdu le respect des masses. A qui la faute ?

On peut être mis en examen des années, avant d’éventuellement être jugé, de pouvoir faire appel puis d’aller en Cour de cassation, quand on a les moyens de payer de bons avocats sans renoncer au plus petit de ses mandats, continuer à en toucher les émoluments… Des années après s’être fait prendre la main dans le gâteau, tout le monde aura oublié, s’en foutra au pire. Pour un peu que vous ayez grimpé dans la hiérarchie des mandats, vous devenez intouchables.

Combien d’élus ont été jetés par leur parti quand ils ont été mis en examen ? Combien ont démissionné ? De mémoire, à part Juppé, Emmanuelli, Noir, Balkany et Carignon qui ont été condamnés, combien le sont et le seront ? En plus, ceux-ci n’ont pas perdu leurs mandats (sauf Juppé mais avec quelles compensations ?). Ou ils sont encore réélus, les français étant vraiment des veaux, comme l’avait dit de Gaulle avec raison. Alors pourquoi se gêner ?

Les élus savent jouer de la présomption d’innocence, parler de leur Honneur (je pouffe) et chacun pense que les mésaventures du parti adverse lui arriveront aussi sûr que deux escrocs font deux escrocs. Les loups ne se mangent pas entre eux. Ils se disputent devant la télé puis prennent l’apéritif ensemble au bar des Assemblées. Même si personne n’est dupe, cela ressemble quand même fortement à du théâtre.

Spécificité bien française que de garder ses mandats alors qu’un juge vous met en examen. Comme si les juges mettaient en examen des gens contre qui n’existent pas d’éléments graves !!! Mais je défendrais mon honneur, devant le suffrage s’il le faut. Mes électeurs jugeront !

Dans le même temps, l’électoralisme fait que le voleur de voiture est jugé en comparution immédiate et y va de ses trois mois.

Pauvre Lefloch Prigent qui a connu les affres de la prison et, se rendant compte du système carcéral a estimé nécessaire d’avertir le peuple ignorant par un livre, des interviews… J’ai failli verser des larmes  à l’époque, de rire bien-sûr.

 

Si on parle de délinquance financière, (pas le voleur de chéquiers ou le juge qui prend la carte bleue de sa collègue allemande pour aller aux putes - un an et demi pour qu’il soit viré celui-là…) il faut savoir que si les Policiers spécialisés en cette matière sont bien formés et excellents même si soumis à des « pressions politiques » tiens donc, les Juges sont peu nombreux. Il leur faut des mois pour reprendre un seul dossier (des milliers de pages) derrière le juge précédent qui vient d’être promu ailleurs et/ou n’a pu refuser la promo, au bon moment bien-sûr. Aucun magistrat, en ces matières, ne finit le dossier qu’il a commencé, tant ils sont lourds, que le Politique met des bâtons dans les roues, que les avocats savent faire traîner par beaucoup de manœuvres dilatoires…Souvent, plusieurs juges travaillent sur un seul dossier, pas en même temps mais l’un derrière l’autre. Les juges médiatisés (Joly, Vichniesky et autres) ne sont plus au Pôle Financier depuis longtemps. Les dossiers sur lesquels ils ont tant travaillé et communiqué y sont encore !

 

En fin, et j’arrête là, nos Elus, quand ils ne sont pas médecins sont AVOCATS (le Président et combien de ses ministres - COPPE arrive même à être ministre tout en étant avocat actif,  elle est pas belle la vie ?-, et combien de sénateurs, de députés sont avocats de formation ? Les loups ne se mangent pas entre eux, je le répète. Coluche le Lucide avait dit que s’ils mettent plus d’argent dans les prisons que les écoles c’est qu’ils n’ont plus de chance de retourner à l’école, tandis qu’en prison hein ? Il était encore optimiste. Ils savent que de toutes façons ils n’iront pas en prison, quand bien même élus et devant être irréprochables, ils violent les lois qu’ils votent et pour des montants un peu supérieurs au prix d’un portable ou d’une voiture, tout en s’offusquant du comportement insupportable de l’incendiaire de voiture.

Messieurs dames nos élus, vous êtes responsables, par votre comportement, votre corporatisme, votre mauvais foi, si des jeunes brûlent des voitures en disant aux policiers, « Ben quoi, pour un ministre c’est des millions et pas de prison ». Si leur geste est inexcusable, que doit-on répondre à ça. Rien, on les présente devant les juges. Ils sont normalement punis mais jamais les élus. Vous souhaitez regagner le respect populaire. C’est pas gagné tant vous avez fait de mal durant des décennies à la démocratie par vos amnisties et vos lois destinées à vous absoudre à l’avance de toute sanction. A-t-on vu un élu faire de la prison ferme pour des millions détournés ? Rien que du sursis quand au bout de 15 ans l’affaire arrive à son terme et souvent des peines ne rendant pas inéligibles surtout.

Alors, continuons d’inscrire des électeurs bidons, de détourner les financements, de s’offrir des frais de bouches, du personnel au frais des collectivités….de toucher des salaires de sociétés publiques ou privés (sans arrière-pensées celles là) sans y avoir bureau ou téléphone, de faire embaucher conjoints et  enfants dans les mêmes entreprises, ou les collectivités locales….pourquoi se gêner ?

Ne souffrant ni d’Alzheimer et n’étant pas un lapin de six semaines, je n’ai que méfiance pour les gens qui réclament mon suffrage, surtout ceux qui disent vouloir faire du ménage. J’ai du mépris pour nombre de ceux en place quand je me rappelle leurs engagements et vois ce qu’ils font une fois installés.

 

J’aimerai être surpris une fois, rien qu’une, mais ne soufrant ni …

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3 avril 2008 4 03 /04 /avril /2008 19:07

Le Conseil fédéral de la FGF-FO, réuni les 26 et 27 mars 2008, a mis au cœur de ses débats la révision générale des politiques publiques. Vous trouverez ci-joint le compte-rendu de sa réunion. Même si vous ne partagez pas les mêmes positions syndicales, lisez ce compte-rendu selon lequel la RGPP pourrait avoir pour conséquence la disparition du statut actuel de la fonction publique.


« Paris, le 2 avril 2008 – Fédération générale des Fonctionnaires de Force Ouvrière

Réalité ou fiction ??? 

Préalable :

Les agents publics sont confrontés à la Révision Générale des Politiques Publiques (RGPP).

 

Les services publics, que la République a construits pour assurer l’égalité des citoyens, sont en danger !

 

Dans toutes les structures syndicales FO, l’inquiétude gagne du terrain compte-tenu de la réalité des propositions gouvernementales.


En conséquence, FO vous livre une vision – réalité ou fiction – de ce que seront les services publics en 2012. A vous d’informer largement, autant les citoyens que les agents publics, avant l’inéluctable !

 

Réalité ou fiction ??? : voilà à quoi aboutiront les décisions prises dans le cadre de la Révision Générale des Politiques Publiques (RGPP)

 

 « NOUS SOMMES LE 1er JANVIER 2012

 Le service public républicain n’est plus !! »

 

« Lors de ses vœux télévisés du 31 décembre 2011, le Président de la République est longuement revenu sur le bilan de sa restructuration du service public et des politiques publiques. Il s'est félicité de cette politique, rejetant les critiques sur les conséquences en terme de qualité du service public et du service rendu aux citoyens en particulier les plus modestes.

 

La révision générale des politiques publiques (RGPP), lancée en juillet 2007 sous couvert de modernisation des services publics, n'avait en fait pour objectif que la réduction par tous les moyens possibles des dépenses publiques de l’Etat d’ici 2012 au plus tard. Les décisions qui en ont résulté, annoncées par le  Président de la République lors du conseil de modernisation des politiques publiques du 4 avril 2008 se sont révélées dévastatrices pour le service public et pour les citoyens.

 

Jamais concertées, jamais débattues, ni au Parlement, ni avec les élus locaux, ni avec les organisations syndicales, ces décisions ont été élaborées en catimini par quelques hauts fonctionnaires et des conseillers privés (dont certains étaient directement intéressés par la privatisation de missions de l’Etat du fait de l’activité, passée et à venir, de leurs sociétés). Renforcées par le Rapport Silicani « service public 2012 » d'avril 2008, elles ont été mises en place à marche forcée.

 

Elles ont entraîné des réductions massives de moyens, de missions et de services, sans s’intéresser aux conséquences pour les citoyens, afin de permettre de justifier la suppression de plusieurs centaines de milliers d’emplois publics lors du budget triannuel de l’Etat pour 2009/2011.

 

Du « service public »… aux services aux usagers :

 

Cela s’est notamment traduit par la création en 2008 et en 2009 de nombreuses nouvelles « agences » pour remplacer les administrations et les services de l’Etat. Il s'agit de véritables « centres de profit » dont la ressource budgétaire publique est limitée mais qui se créent leurs propres sources de revenus par la tarification de « leurs services » à l'usager : « Agence France emploi » / « Agence pour le prélèvement de l’Impôt » (proposition du rapport Attali de 2008, mis en œuvre en 2010) /  « Agence Route de France » / « Agence commerciale du permis de conduire » / « Agences Régionales de Santé » / « Agence Biodiversité » / « Agence Vétérinaire » / « Agence Voies Navigables » / transformation des écoles primaires en Etablissements Publics d’Enseignement Primaire / suppression des musées nationaux au profit d'une filiale privée « La Réunion des musées » / etc…

 

Désormais, une centaine d’établissements aux statuts hétéroclites et disparates sont chargés, sur des domaines dédiés, de faire fonctionner non plus le service public, mais différents services au public - client.

 

La puissance publique ne peut plus fonctionner : en quatre ans plus personne ne s’y retrouve avec toutes ces entités administratives indépendantes différentes, au fonctionnement autonome et souvent opaque faute d’une tutelle et d’un contrôle dont l’Etat n’a plus les moyens ni les compétences. Il est impossible de rendre compte budgétairement du coût final du nouveau « service public » français. Au niveau territorial, l’action publique n’est plus pilotée et il n’y a plus aucune cohérence d’ensemble. La multiplication des agences, se comportant comme autant d’Etats dans l’Etat, chacun recréant sa propre administration, a entraîné de véritables conflits de gestionnaires.

 

Non seulement le paysage administratif est incompréhensible et illisible pour le citoyen (ou plutôt l’usager, devenu client, qui doit désormais disposer des moyens financiers et technologiques pour accéder à un ou à des services publics) mais les dotations publiques consenties à ces nouveaux établissements publics sont telles que leur montant total revient à des coûts bien supérieurs à ceux attribués aux ministères et administrations républicaines de 2008.

 

De l’égalité républicaine pour chaque citoyen à … l’inégalité généralisée selon les ressources du client :

 

Les réductions des dotations publiques ont entraîné le besoin pour ces nouveaux établissements de développer des ressources propres pour fonctionner (et pour mettre en œuvre des décisions « étonnantes », bien éloignées des objectifs ayant prévalu à la création, en toute hâte, de ces agences). Cela se traduit par une augmentation du coût global pour le client.

 

La mise en place de péages sur toutes les routes gérées par « Routes de France » et sur plusieurs routes départementales en 2010 et en 2011, l’examen du permis de conduire devenu payant (mais tous ceux qui peuvent se le payer le réussissent, tant pis pour la sécurité routière), les coûts des droits d’inscription pour toutes les études dès le secondaire comme ceux désormais nécessaires pour passer un concours ou pour obtenir un diplôme, la généralisation de numéros payants pour l'accès téléphonique aux services, sont autant de nouvelles charges pour l’usager.

 

Les administrations de l’Etat étaient chargées d'assurer l'égalité de tous devant la loi. La logique nouvelle de rentabilité du service public et le transfert des compétences et des responsabilités de l'Etat à des agences incontrôlées ont fait éclater cette égalité constitutionnelle. Sur des pans entiers de la société, il n'y a plus de grandes politiques publiques en 2012, il ne reste que des choix intéressés conduits par l’intérêt particulier de structures indépendantes dont la survie dépend de leur profit annuel.

 

Les agences et les administrations emploient dorénavant des agents sous contrat précaire de droit privé qui ne sont pas en position de résister aux pressions administratives, économiques et politiques, rompant de fait l'égalité de droit des citoyens et des entreprises face au service public.

 

La création des agences et la série de mesures ayant conduit à privatiser notamment le service postal, la délivrance des cartes grises (aux concessionnaires), l'archéologie préventive, etc, ont entraîné la fin des prestations publiques égalitaires aux citoyens, aux professionnels, aux collectivités. Dans cette nouvelle « sphère marchande publique », il n’y a plus, par nature même, d’égalité de traitement.

 

Pour une entreprise, une collectivité, ou un citoyen, il faut désormais avoir les moyens financiers d’emprunter telle ou telle route, avoir les moyens financiers d’obtenir tels ou tels papiers administratifs, avoir les moyens de mettre en concurrence les différents « services aux publics » pour essayer de réduire ses dépenses. Les meilleurs services sont réservés au plus offrant.

 

La privatisation du contrôle des transporteurs (autocars, poids lourds) a multiplié par trois le tarif des contrôles. Les entreprises de transports suffisamment importantes peuvent bénéficier de conditions et de coûts de contrôles compétitifs en mettant en concurrence leurs contrôleurs sur appels d'offres européens, les autres, plus petits, subissent les monopoles locaux.

 

Plusieurs banques font de la publicité pour des prêts à taux réduits à l'attention des familles, seuls à même de leur permettre « d'accéder à des services de la vie courante » : cantine scolaire, études, crèches, aide à la personne,...

 

De plus en plus d'individus et de familles sont exclus de l'accès au service public !!!

Eloignement des services publics et des administrations…  du citoyen :

 

Sous le prétexte d'une « simplification » porteuse « d'une amélioration du service public », cette réforme a supprimé les services de proximité :

- en 2012, il n’existe plus aucun service départemental de l'Etat ;

- des réformes comme celles des structures hospitalières, de la carte judiciaire, des fusions ANPE-ASSEDIC ou Impôts-Trésor ont éloigné d'autant plus les services publics des citoyens ; Il faut, pour ceux qui le peuvent, se débrouiller seul avec internet ou bien se rendre à la préfecture de Région pour rencontrer un représentant de l’Etat, par ailleurs bien impuissant à intervenir dans le pilotage d’agences autonomes ;

- les services locaux de Météo France ont été supprimés malgré les enjeux de sécurité civile ; idem pour ceux de l'Office National des Forêts (privatisé en 2012) ;

La RGPP
et le rapport « service public 2012 » ont conduit à mettre en œuvre dès 2009 un 3ème acte de décentralisation en transférant aux collectivités territoriales plusieurs missions « à débarrasser du budget de l’Etat » (politique de l’eau, prévention des risques, urbanisme, gestion des monuments historiques, délivrance des cartes d’identité et passeports, AFPA transférée aux régions, etc). Mais la suppression de fait des communes (dépendantes des structures intercommunales) et des départements, renforcent encore cet éloignement des acteurs et des structures publiques.

 

Ne pouvant plus compter sur les services de l’Etat ni sur leurs conseils en toute neutralité ou leurs partenariats, les collectivités territoriales n’ont d’autre possibilité que de se tourner vers des sociétés privées, constituées dans la précipitation, en sachant très bien que les abus de position dominante en savoir-faire techniques déjà rencontrés et dénoncés sur l’alimentation en eau potable, l’assainissement, l’éclairage public, l’énergie et la collecte et le traitement des déchets par exemple, se généraliseront à tous leurs nouveaux domaines de compétences.

 

La fiscalité locale a poursuivi son ascension, augmentant ainsi les inégalités entre les collectivités et sur le territoire et grevant encore un peu plus le pouvoir d’achat des citoyens.

 

Les populations les plus aisées, refusant de payer « les services des autres », se regroupent dans des collectivités qui, ayant peu de dépenses sociales, peuvent pratiquer des prélèvements fiscaux faibles : la ségrégation territoriale s'accentue au détriment de la solidarité que l'Etat n'a ni les moyens ni la volonté d'assurer.

 

Faute de missions territoriales (les sous-préfectures et les services départementaux de l'Etat ont été supprimés en 2011), les actes de contrôles de l'Etat (marchés publics, installations classées, actes de construction,...) ont été « allégés », c'est à dire qu'ils ne sont plus réalisés, ou bien sont confiés à des opérateurs privés. Le contrôle des lois de la République est donc réalisé par des entités, du secteur privé, différentes d'un territoire à l'autre. Les contentieux se multiplient, au grand bénéfice d'agences privées, plus enclines aux arguties procédurales qu'à la défense de l'intérêt public.

 

Les architectes à qui les permis de construire ont été transférés en 2008 refusent désormais de les délivrer face à la multiplication des contentieux et laissent le juge décider. Le contrôle des installations  industrielles n'est plus obligatoire. Cela renforce encore la judiciarisation de la société dans laquelle seuls ceux qui peuvent se payer les « ténors du barreau » peuvent encore agir.

 

Des missions publiques abandonnées :

 

En moins de 4 ans, la recherche publique a été réduite de moitié, l’offre technique publique de référence et l’ingénierie d’innovation ont disparu en France… en attendant une « bonne catastrophe ». Les entreprises françaises déclinent, faute d'avoir pu faire défendre leur savoir-faire dans les instances internationales de normalisation,  et la compétence technique nationale s’appauvrit dans de nombreux secteurs.

 

Alors que l’aménagement du territoire et le développement durable nécessitaient un Etat fort et ambitieux, un Etat partenaire, opérateur, prestataire et stratège, la RGPP a réduit chaque ministère encore existant à un porteur de quelques « bonnes intentions », sans aucune capacité d’intervention. D'ailleurs, depuis 2009, l'aménagement du territoire n'est plus une politique de l'Etat : une Agence à la Compétitivité des Territoires a été instaurée pour « intensifier la concurrence entre les Régions ». Les parties du territoire en difficultés se désertifient et sont livrées à elles-mêmes. L'égalité républicaine n'a plus cours sur le territoire national.

 

Le fameux « Grenelle de l’Environnement » d’octobre 2007 n’a jamais été suivi d’effets (le gouvernement a amusé la galerie jusqu’en 2009 avec un « projet de loi » jamais promulguée). L'Etat n'a plus la capacité d'avoir une vision transversale et polyvalente sur le territoire. Au final, un constat pas très développement durable : deux années d’énergie dépensée pour ne brasser que du vent…

Les espaces naturels protégés sont gérés par les agences comme un patrimoine à faire fructifier : les revenus du tourisme spécialisé doivent couvrir les frais de gestion. Les investisseurs achètent des « droits à détruire ou à polluer » en finançant en compensation la protection et l'aménagement des sites à fort potentiel (touristique et économique).  La biodiversité, qui n'a pas toujours la chance d'attirer le touriste, accélère sa régression...

 

Des centaines de sections d’enseignement (BEP notamment) ont été fermées depuis 2008. Dans celles qui subsistent, les programmes et les horaires ont été allégés afin de permettre de réduire le nombre des enseignants. La qualité de l'enseignement public s'est considérablement dégradée, au grand bénéfice des établissements privés et des cours particuliers. L'enseignement à deux vitesses est devenu une dramatique réalité, contre laquelle le gouvernement ne fait même plus semblant de lutter.

 

Des bases de défense nationale et de nombreuses implantations militaires ont été supprimées, générant notamment une faillite de nombre de PME et une aggravation du chômage dans les secteurs concernés.

 

En France en 2012, il n'y a plus de politique nationale organisant l'offre culturelle, soutenant la création ou préservant le patrimoine.

 

Les cliniques privées, choisissant leurs patients et les pathologies les plus lucratives à soigner, s'enrichissent au détriment de l'hôpital public qui, sous-doté en crédits et en personnel, assume seul les urgences, les interventions les plus lourdes, et la charge de l'enseignement de la médecine. L'hôpital public est devenu de fait « l'hôpital des pauvres » n'ayant pas les moyens de payer la mutuelle ou l'assurance complémentaire qui leur permettrait de couvrir les franchises et les dépassements d'honoraires, et de recevoir sans attendre des mois les soins de qualité dont ils ont besoin. La fermeture des hôpitaux de proximité s'est accélérée, éloignant le service public de santé des usagers qui doivent faire des trajets de plus en plus longs et coûteux pour accéder aux soins. Après des années de progression, l'espérance de vie stagne, et les démographes s'attendent maintenant à sa décroissance prochaine.

 

Ainsi, en 4 années, la mise en œuvre des décisions de la RGPP a détruit les fondements républicains sur lesquels était basée l’organisation de l’Etat et celle de la Fonction Publique. Moins de services publics mais plus d’inégalité sur le territoire national entre les usagers, entre les citoyens, entre les collectivités. Moins de présence territoriale et technique de l’Etat mais une puissance publique incontrôlée et incompréhensible avec un accroissement des difficultés à accéder aux soins, à l’éducation, à la justice et une augmentation de la fiscalité locale et des coûts supplémentaires pour chaque citoyen pour chaque activité courante nécessitant une mission de service public.

 

Que reste –t-il de la liberté lorsqu’il n’y a plus d’égalité et que l’on n’ose même plus parler de fraternité ?

 

C’est indéniable, en 2012 nous ne vivons plus dans la même République qu’en 2008. »

 

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Non, nous ne sommes pas le 1er janvier 2012 !

MAIS

nous pourrions y être plus vite que prévu, et dans de telles conditions, si nous ne nous opposons pas avec force contre cet avenir détestable que la révision générale des politiques publiques et ses auteurs veulent imposer au service public républicain.


Il est encore temps de changer le cours des évènements.

Pour que, en 2012, « service public » rime encore avec République !

Sur ces questions essentielles pour l’avenir du pays, pour l’avenir de tous,
véritables choix de société, nous refusons que le débat républicain soit escamoté.

Parce que tous les personnels du service public ressentent qu’un tel scénario catastrophe se construit actuellement,

Force Ouvrière appelle à la mobilisation de tous pour défendre le fondement égalitaire de notre République, le maintien des missions publiques et le renforcement du service public qu'il suppose.


Fin provisoire…

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1 avril 2008 2 01 /04 /avril /2008 19:42

Je me teins en blonde...

Et... 

Je prends ma carte au PS pour faire plaisir au Renard et à l'Ecureuil !
________

POISSON D'AVRIL !

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30 mars 2008 7 30 /03 /mars /2008 19:12
Portail de Magdunois en goguette :


Ne riez pas, le monsieur est très sérieux...
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